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Par Lucie Ferraille le 12 Octobre 2009 à 20:56
Ouvrir un livre à l'ombre de l'olivier
Com' chanter à capella sans sourcilier
Voir les petits poissons naîtr'et frétiller
Sourire aux olives qui font que chanter
Tu parles !
L'olivier a une légende inespérée
Une seule, la légende de longévité
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Par Lucie Ferraille le 21 Septembre 2009 à 20:29
Très haut planté, s'illumine en nous une confiance incohérente, nous oublions et d'autres meurent d'une marre d'ignorance. Antan, des marques nous stressaient, étions las et vexés, perdus sans complexe dans une situation perplexe. Et maintenant nos sentiments se forgent devant l'affront qui nous fait face. En osmose avec nos convictions, nous demeurons partisans de notre horizon au plus profond de nos âmes, traînant dans la source de nos états d'âme. Dans un univers où plus rien n'a de valeur réelle ni les âmes qui nous entourent ni les êtres qui les portent, on leur vole le plus intime de leur sentiment. Le monde se ment si souvent. Il se sent si seul.
Et si seulement nous étions cent à asséner nos sensations et à cibler les éléments ?
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