• Equal

     

     

    Le sexe.

    Point initial de la dépendance de l'homme. Pour nous à l'heure qu'il est nous avons pour sexe une forme composée de pornographie cloisonnée dans une folie qui ne procrée guère frisant l'utopie. Ne penses-tu pas que cet amalgame fausse bien nos sens ? Je te propose de bâtir un univers sans faille où la forme nous transporte de fantasmes de l'homme et de sa sublime comparution. Dis moi mon amour, au banc des accusés et dans des conditions de contexte étrange, pourquoi nous censurer quand on y gagne au change ?

    On pourrait changer nos concepts de monogamie parce que l'éventail des prétendants s'élargie. Mais non. Et tu le sais bien, toi et moi aujourd'hui on ironise l'érotisme, hier, encore maître de tous les vices et sous cette vague n'ayant aucune pudeur, nous nous glissions lentement dans la peau d'un rôle.

    Tu te souviens ? Quelle limite fixée quand affectés à la réalité, nos intentions dénuées de sens nous faisait agir en bonne conscience ? Mon éducation pornographique enfermée dans une folie qui ne génère qu'une valeur volontairement utopique faussait bien mes sens. Ô combien cet amalgame a faussé mes sens ! De merveilleuses créature squattaient mon cerveau, que de vivre désinvolture de ma part ! Et toi, fier de connaître l'anatomie féminine sur le bout des doigts, une zapette en guise d'ouverture sur ce monde sublime et à y prendre goût, malgré tout, malgré tout ça, tu ne me mettais pas à l'amende. Nous amassons toujours plus de fantasmes au final parce que la pratique diffère. Je ne sais plus où est la raison de ces tristes pratiques qui deviennent banales ? Plus aucune frontière nous sépare de la réelle union. Nous deux unis dans la plus belle des passions données. Je pourrais te dire : "Je ne supporte pas ce que tu me proposes, tu as l'esprit trop tordu" Et toi de me répondre : "Mais bien sur, évidement, ne soit pas trop difficile non plus, vas-y lâche moi, ne me suce pas, casse toi, fais pas ta bourge, j'en ai connu de plus dociles" Mais ne tu ne te méfies plus car plus qu'un piège tendu, nous avançons à tâtons, pudiques mais convaincu que les fantasmes se réalisent.

    Une bêtise qui use de nos vices qui fait front à une sexualité qui se génère. A l'inverse d'une industrie qui cumule toujours plus sans se soucier des retombées de ce triste bizness. Faut dire aussi qu'on use de chair.. D'autre ne croque que frustration. Ne sommes nous pas issu d'une pornographie cloisonnée dans une folie qu'i n'enfante qu'une valeur frôlant l'utopie ?

     

    Cet amalgame pourrait fausser nos sens, mais avec toi, c'est autre chose.

     

     


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